Histoire littéraire philologique et bibliographique des patois

Couverture
 

Pages sélectionnées

Autres éditions - Tout afficher

Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page xxiii - Amyot, dans le cardinal d'Ossat, dans les ouvrages les plus enjoués, et dans les plus sérieux : il avoit je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné.
Page xxxiv - Jamais la pierre-ponce de l'usage et le grattoir barbare du puriste n'en ont effacé le signe élémentaire d'un radical. Il conserve le mot de la manière dont le mot s'est fait, parce que la fantaisie d'un faquin de savant ou d'un écervelé de typographe ne s'est jamais évertuée à détruire son identité précieuse dans une variante stupide. Il n'est pas transitoire comme une mode. Il est immortel comme une tradition. Le patois, c'est la langue native, la langue vivante et nue. Le beau langage,...
Page 232 - Nouvelles Recherches sur les Patois ou Idiomes vulgaires de la France ; et en particulier sur ceux...
Page 282 - Xlle siècles ; publié, pour la première, fois, d'après les manuscrits de Londres, de Cambridge, de Douai, de Bruxelles et de Paris, par Francisque Michel.
Page 253 - Facéties provençales, ou recueil de diverses pièces bouffonnes, originales et inédites, en idiome provençal, dont le manuscrit a été trouvé en 1796 sous les ruines de l'église des Accoules, contenant entre autres la comédie du Barbier d'Auriol et plusieurs dialogues curieux et amusants, dédié aux amateurs delà grosse gaieté.
Page 283 - Rapports à M. le ministre de l'instruction publique sur les anciens monuments de l'histoire et de la littérature de la France, qui se trouvent dans les bibliothèques de l'Angleterre et de l'Ecosse«.
Page 238 - Gais, qui a este • faiclc (sic) et mis en rime par un citoyen de la dicte ville de Gais en leur langage. Auec la joyeuse farce de Toannon d'où Treu (v.). Lyon, s.
Page vi - si les patois étaient perdus il faudrait créer une académie spéciale pour en retrouver la trace, « ' propose la publication d'un recueil des Trésors de la littérature béarnaise aux diverses époques. M. de Lagrèze offre de se charger de cette publication en s'aidant du concours de M. Hatoulet, bibliothécaire de la ville. Elle formerait un volume, en y comprenant un glossaire. Quant...
Page 316 - Dissertation dans laquelle on entreprend de prouver que de toutes les langues, que l'on parle actuellement en Europe, la langue allemande est celle qui conserve le plus de vestiges de son ancienneté, par M.
Page 282 - Roncevaux, du douzième siècle, publiée pour la première fois d'après le manuscrit de la Bibliothèque Bodléienne à Oxford, par Francisque Michel.

Informations bibliographiques