Œuvres complètes de Eustache Deschamps: Chançons royaulx. Balades amoureusesFirmin Didot & cie, 1882 |
Expressions et termes fréquents
adonc Alixandre amée amer Amour Ashburnham Balade bestes biauté c'om ceste ceuls chascun doit rendre chief chiere chose cilz clers courtieux creature cuer cuers d'amour d'eulx d'onneur dame deffault demourer depart destour destruit Dieu Dieux doubte doulce douloureux doulx doulz esbatement estable estes estoit estre eulx faictes faiz fault faulx fist flour foiz folio fors genz grace grans grant hault homs honneur honnorez humble j'ay jour d'uy jouster joye l'en L'ENVOY Prince li peuples loing maint maniere maulx mercy mieulx monde mors mort moult n'ay noble noblesce nulz oncques pais paix Paour penser perilleuse pité piteux pitié plain plourer pluseurs poins povre Publiée par Tarbé puet puist qu'ilz querre regart regner rendre sa droiture respont saige sanz sçay scet seigneur seray telz toudis tousjours tresdoulce Treves tuit vault veoir Verité veult voult vray vueil ΙΟ
Fréquemment cités
Page iv - La littérature romantique est la seule qui soit susceptible encore d'être perfectionnée, parce qu'ayant ses racines dans notre propre sol, elle est la seule qui puisse croître et se vivifier de nouveau ; elle exprime notre religion ; elle rappelle notre histoire ; son origine est ancienne, mais non antique.
Page viii - Berthe aux grands pieds et le bon cheval Bayard aussi bien que Barbe-Bleue ou Cendrillon. Vous nous racontiez parfois quelqu'une de leurs merveilleuses aventures, et l'impression de grandeur héroïque qu'en recevait notre imagination ne s'est point effacée.
Page 2 - Nul mal n'avons , qui le corps nous méhaigne. Dieux nous a bien en ce monde ordonné ; Car l'air des champs nous est habandonné ; A bois couper quant je vueil m'esvertue ; De mes bras vif ; je ne robe ne tue ; Seurs chante ; je m'esbas a ma fonde. Par moy à Dieu grace doit estre rendue: J'ay franc vouloir, le seigneur de ce monde.
Page 313 - Testes et de nobles mengiers, Pour le départ dont je souspire et plaings, Adieu te dy, noble cité de Rains. Sur toutes dois avoir la seigneurie; Et quant à moy, je te donne m'amour. Tu es du roy et du sacre embelie ; Et si aymes ton naturel seignour, Ses gens aussi : mais tu portes la flour De festoier et chanter voulentiers.