Œuvres complètes de Eustache Deschamps: Chançons royaulx. Balades amoureuses

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Firmin Didot & cie, 1882
 

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Fréquemment cités

Page 409 - MEYER (1875) 5 fr. Miracles de Nostre Dame par personnages publiés d'après le manuscrit de la Bibliothèque nationale par Gaston PARIS et Ulysse ROBERT ; texte complet t.
Page 409 - Guillaume de Palerne publié d'après le manuscrit de la bibliothèque de l'Arsenal à Paris, par Henri MICHELANT (1876) ю fr.
Page 409 - MEYER (1877! ю fr. Œuvres complètes d'Eustache Deschamps publiées d'après le manuscrit de la Bibliothèque nationale par le marquis DE QUEUX DE SAINT-HILAIRE, t. I...
Page 409 - LONGNON (1878) 10' fr. Chronique du Mont-Saint-Michel (1343-1468) publiée avec notes et pièces diverses par Siméon LUCE, t. I et II (1879, 1883), le vol 12 fr. Elie de Saint-Gille, chanson de geste publiée avec introduction, glossaire et index, par Gaston RAYNAUD, accompagnée de la rédaction norvégienne traduite par Eugène KOELBING (1879) 8 fr.
Page iv - La littérature romantique est la seule qui soit susceptible encore d'être perfectionnée, parce qu'ayant ses racines dans notre propre sol, elle est la seule qui puisse croître et se vivifier de nouveau ; elle exprime notre religion ; elle rappelle notre histoire ; son origine est ancienne, mais non antique.
Page 409 - Œuvres complètes d'Eustache Deschamps publiées d'après le manuscrit de la Bibliothèque nationale par le marquis DE QUEUX DE SAINT-HILAIRE, t. I à VI, et par Gaston RAYNAUD, t.
Page 295 - Lasse, lasse ! maleureuse et dolente, Lente me voy, fors de soupirs et plains. Plains sont mes jours d'ennuy et de tourmente. Mente qui veult, car mes cuers est certains ; Tains jusqu'à mort, et pour celli que \'ains, Ains mais ne fut dame si fort ztainle, Tainte me voy, quant il m'ayme le mains. Mains, entendez ma piteuse complainte.
Page 69 - Aucuns dient que je suis trop hardis, Et que je parle un pou trop largement En reprouvant les vices par mes dis Et ceuls qui font les maulx villainement. Mais leur grâce sauve certainement Vérité faiz en général sçavoir, Sanz nul nommer fors que generalment, Que nulz prodoms ne doit taire le voir.
Page 249 - Mais de s'amour me confortay ; Espoir fu des lors de ma route, Ains meilleur jardin ne trouvay. De la me vient le bien que j'ay, L'octroy et li doulx desiriers...
Page viii - Berte aux grands pieds et le bon cheval Bayard, aussi bien que la Barbe-Bleue ou Cendrillon. Vous nous racontiez parfois quelqu'une de leurs merveilleuses aventures, et l'impression de grandeur héroïque qu'en recevait notre imagination ne s'est point effacée.