La fin de cette épître toucha vivement l'assemblée ; car comment échapper à l'impression des mouvemens de la nature ? Mais le transport s'accrut, et les larmes coulèrent de tous les yeux , lorsqu'on nous levant après la séance , dans l'émotion... Revue du Lyonnais - Page 2161857Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Jean-François Ducis - 1813 - 432 pages
...mouvemeus de la nature ? Mais le transport s'accrut , et les larmes coulèrent de tous les yeux, lorsqu'en nous levant après la séance , dans l'émotion d'un...Hélas! qui m'eût dit que, dixhuit jours après, l'ami qui me pressait contre son sein ne serait plus, et que déjà l'instrument fatal creusait en silence... | |
| Jean-François Ducis - 1818 - 276 pages
...yeux , lorsqu'on nous levant après la séance, dans l'émotion d'un sk doux sentiment, on vit le* deux amis s'avancer l'un vers l'autre , se tendre...qui m'eût dit que , dix-huit jours après, l'ami qui me pressait contre son sein ne serait plus, et que déjà l'instrument fatal creusait en silence... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - 1821 - 458 pages
...les yeux, lorsqu'on » nous levant après la séance, dans l'émotion d'un si doux sentiment, v ou vit les deux amis s'avancer l'un vers l'autre, se tendre les mains » et s'embrasser, u ( Note des nouveaux éditeurs. ) cure le changement d'avis. Notre mère, il est vrai, fait pendant... | |
| Jean-François Ducis - 1834 - 516 pages
...mouvemens de la nature? Mais le transport s'accrut , et les larmes coulèrent de tous les yeux , lorsqu'en nous levant après la séance , dans l'émotion d'un...mains et s'embrasser. Hélas! qui m'eût dit que, dix jours après, l'ami qui me pressait contre son sein ne serait plus , et que déjà l'instrument... | |
| Jean-Baptiste Dumas - 1839 - 540 pages
...épître toucha vivement l'assemblée ; car comment échapper à l'impression des mouvemens de la nature ? Mais le transport s'accrut, et les larmes coulèrent...! qui m'eût dit que dixhuit jours après , l'ami qui me pressait contre son sein ne serait plus , et que déjà l'instrument fatal creusait en silence... | |
| Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon - 1845 - 688 pages
...mouvements de la nature? Mais le transport s'accrut et les larmes coulèrent de tous les yeux, lorsqu'en nous levant après la séance, dans l'émotion d'un...Hélas! qui m'eût dit que dix-huit jours après, l'ami qui me pressait contre son sein ne serait plus, et que déjà l'instrument fatal creusait en silence... | |
| Jean-François Ducis, Marie-Joseph Chénier - 1859 - 734 pages
...yeux, lorsqu'cn nous levant après la séance, dans l'émotion d'un si doux sentiment, on vit le« deux amis s'avancer l'un vers l'autre, se tendre les mains et s'embrasser. Hélas ! qui m'eût dît que, dix-huit jours après, l'ami qui me pressait contre son sein ne serait plus , et que déjà... | |
| 1878 - 1000 pages
...transport s'accrut et les larmes coulèrent de tous les yeux, lorsqu'en nous levant, après la séance, on vit les deux amis s'avancer l'un vers l'autre,...l'ami que je pressais dans mes bras ne serait plus ! » La réception de l'abbé Raynal, comme celle de Voltaire et de Servan, eut lieu dans la grande... | |
| François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - 1878 - 980 pages
...s'accrut et les larmes coulèrent de tous les yeux, lorsqu'en nous levant, après la séance, on villes deux amis s'avancer l'un vers l'autre, se tendre les...l'ami que je pressais dans mes bras ne serait plus! » La réception de l'abbé Raynal, comme celle de Voltaire et de Servan, eut lieu dans la grande salle... | |
| Francisque Bouillier - 1879 - 408 pages
...transport s'accrut et les larmes coulèrent de tous les yeux, lorsqu'on nous levant, après la séance, on vit les deux amis s'avancer l'un' vers l'autre,...l'ami que je pressais dans mes bras ne serait plus! » La réception de l'abbé Raynal, comme celle de Voltaire et de Servan, eut lieu dans la grande salle... | |
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