Miracles de Nostre Dame par personnages, Volume 5

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Firmin Didot et cie, 1880
 

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Page 36 - Demoiselles, jecroy, par m'ame! Que je me muir : tant sui malade ! J'ay le cuer si vain et si fade Qu'avis m'est de touz poins me fault : Tant m'a pris ce mal en sursault! Que feray-je ? Diex ! les rains ! Diex ! Confortez-moy, Dame des cielx : Trop sans d'angoisse.
Page 260 - S'il me deulent? certes, oïl ; Et y sens tant mal et angoisse Qu'il n'est fors Dieu qui la congnoisse. — E...
Page 3 - Dame, comment la fille du roy de Hongrie • se copa la main pour ce que son père la vouloit espouser et un « esturgon la garda vij ans en sa mulette.
Page 14 - Car j'ay pluschier une main perdre Qu'à tel mariage moy erdre, Qui, pour un po de gloire vaine, Me mette en pardurable paine : Pour ce, sanz plus terme ne jour, Delivrer m'en vois sanz sejour Et sanz respit. LE ROY. Seigneurs, je ne sçay se en despit Ma fille a ce que la vueil prendre ; Elle me fait yci attendre, Si m'ennuie que tant demeure : Je vous em pri que sanz demeure La m'alez querre. PREMIER CHEVALIER. Mon chier seigneur, je vois bonne erre, Puisqu'il vous plaist.
Page 61 - Teure qu'en mer verse. Ha, Fortune ! tant m'es perverse A bon droit se de toy me plains Et com dolente me complains, Qui m'as mis ou hault de ta roe Et m'as puis jette en la boe; Mais pis, car sanz gouvernement Suy de haulte mer en tourment Qui trop maternent sur nous qneurt.
Page 259 - III filz : dont il la condampna à mort ; et ceulx qui la dorent pugnir la mirent en mer , et depuis trouva le roy ses enfans et sa femme.

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