L'Amant rendu cordelier à l'observance d'amours: poème attribué à Martial d'Auvergne, Numéro 15

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Firmin Didot, 1881 - 200 pages
 

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Fréquemment cités

Page 138 - II m'enseigne à n'avoir affection pour rien ; De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je verrois mourir frère, enfants, mère, et femme, Que je m'en soucierois autant que de cela.
Page viii - Jehan-Baptiste, environ neuf heures du matin , une telle frénaisie le print qu'il se jetta par la fenestre de sa chambre en la rue, et se rompit une cuisse et froissa tout le corps, et fut en grant dangier de mourir ; it depuis persévéra longuement en ladictc frénaisie , et après se revint et fut guéry.
Page vii - Paris; il y eut entre aultres ung jeune homme nommé maistre Marcial d'Auvergne , procureur en la court de parlement et notaire au...
Page 110 - Jugement définitif sur un plaidoyer d'Amour (n) ou le Décret d'un cœur infidèle (12). Le poète y modernise librement Martial d'Auvergne. L'amoureux médiéval, pour fléchir sa dame, lui baillait prosaïquement « six aunes de drap de Damas pour faire une cotte simple, deux petites verges d'or, quatre aunes d'écarlate, une turquoise et un Agnus Dei doré » (13). L'amant « maltraité » de La Fontaine applique à la lettre le programme défini par Mlle Desjardins dans sa cinquième règle...

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