Histoire littéraire de la France: ouvrage commencé par des religieux bénédictins de la Congrégation de Saint Maur, et continué par des membres de l'Institut (Académie des Inscriptions et Belles-Lettres)., Volume 26

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Imprimerie nationale, 1873
 

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Fréquemment cités

Page 523 - Des abus relatifs au service militaire est née la nécessité (si tant est qu'on puisse appeler nécessité un acte condamnable en soi) d'altérer les monnaies du royaume, altérations par suite desquelles ceux qui ont des rentes en argent ont perdu d'abord le quart, puis le tiers, ensuite la moitié, enfin le tout. « Moi qui écris ces choses, je sais que chaque année j'ai vu mon revenu diminuer de 500 livres tournois depuis qu'on a commencé à changer les monnaies.
Page 226 - ... présents annuels regardaient la reine, qui se faisait assister du camérier, et qui, dans certains cas, devait en conférer avec le roi; mais elle n'avait à s'occuper ni de la table ni des écuries : « De honestate palatii seu specialiter ornamento regali, neco non de donis annuis militum, absque cibo et potu, vel equis, « ad reginam praecipue, et sub ipsa ad camerarium pertinebat...
Page xviii - Dissertations sur quelques points curieux de l'histoire de France et de l'histoire littéraire, VII, 1839, pp.
Page xxi - Bouillon, poème historique publié pour la première fois avec de nouvelles recherches sur les légendes qui ont rapport à la Belgique, un travail et des documents sur les croisades, par le baron de Reiffenberg ; 3 vol.
Page xiii - XIIe siècle, publiée pour la première fois, d'après le manuscrit de la bibliothèque bodléienne à Oxford, par Francisque Michel.
Page 494 - Sur ce point et sur d'autres, dit-il, on doit s'en remettre au Seigneur Dieu des armées, qui saura bien établir un chef unique pour le temporel, comme il en existe un déjà pour le spirituel. Il est difficile, en effet, qu'il se passe un temps bien long avant que le roi d'Allemagne, pressé par des guerres, ait besoin de réclamer votre secours. D'ailleurs, les fils de votre sœur ', qui doivent succéder au trône d'Allemagne, et à quelques provinces de .ce royaume, pourront être...
Page xx - Scriptores rerum Gallicarum et Francicarum. Recueil des historiens des Gaules et de la France...
Page 153 - C'est de Doon à la barbe florie, Cil de Maiance qui tant ot baronie. En son lignaige ot gens lière et hardie : De tole France eussent seignorie , Sé il ne fuissent plain de tel félonie.
Page 491 - Lombards, il proposa tout de suite à ses barons de partir pour l'Italie, et il les força de le suivre sans leur permettre même d'entrer dans leurs maisons. En second lieu, Charlemagne a presque toujours combattu les païens, qu'il est avantageux de tuer. Enfin il n'aurait pu tenter d'affamer ses ennemis, parce que la population, qui était peu nombreuse alors, trouvait dans de vastes forêts le gibier nécessaire à son existence ; mais aujourd'hui tout est changé. L'accroissement prodigieux...
Page 73 - Et vous, lecieres, ares le cief copé. — Signour, dist ele , merchi , por l'amor Dé ! « De mon cors faites toute vo volenté; « Mais que ne faites au damoisel nul mel. » Et il respondent : « Ne sera pas tué , « Mais de l'angoisse ara à grant plenté. » Adont ont pris Huon le baceler , Les iex li bendent , les poins li ont noé, Puis ont saisie la dame de tous lés , Et si le mainnent dedens lor grande nef. Ele fait duel ja si grant ne verres ; Et chil li ont .1.

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