Les épopées françaises: étude sur les origines et l'histoire de la littérature nationale, Volume 2Victor Palmé, 1867 |
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Les Épopées françaises, étude sur les origines et l'histoire de la ..., Volume 2 Léon Gautier Affichage du livre entier - 1867 |
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 69 - comme tu es belle et sainte ! — Dans ta garde dorée il y a assez de reliques, — Une dent de saint Pierre, du sang de saint Basile, — Des cheveux de monseigneur saint Denis, — Du vêtement de la vierge Marie. — Non, non, ce n'est pas droit que païens te possèdent
Page 109 - l'horizon. La nuit vient. — < Camarade, Dit Roland, je ne sais, mais je me sens malade. Je ne me soutiens plus et je voudrais un peu De repos. — Je prétends avec l'aide de Dieu, Dit le bel Olivier, le sourire à la lèvre, Vous vaincre par l'épée et non point par la fièvre;
Page 449 - II est certain que vous aurez bataille, « Car, sous vos yeux, voici les Sarrasins. « Or donc, battez votre coulpe et demandez à Dieu merci. « Pour guérir vos âmes, je vais vous absoudre; « Si vous mourez, vous serez tous martyrs: « Dans le grand Paradis vos places sont toutes prêtes ! » Français descendent de cheval, s'agenouillent à terre,
Page 463 - Alors il retrouve dans ses yeux un reste de clarté, ce qu'il en faut pour découvrir l'Espagne, et il se tourne énergiquement de ce côté. « Et pourquoi le faitil? Ah! c'est qu'il veut faire dire à Charlemagne et à toute l'armée des Francs, le noble comte, QU'IL, EST .MORT EN
Page 110 - qui travaillent la nuit. Le jour naît, le combat continue à grand bruit ; La pâle nuit revient, ils combattent ; l'aurore Reparaît dans les deux, ils combattent encore.,. Tout à coup Olivier, aigle aux yeux de colombe S'arrête et
Page 447 - Ni que France la douce tombe jamais dans le déshonneur ! « Non, mais je frapperai grands coups de Durandal, « Ma bonne épée que j'ai ceinte à mon côté. « Vous en verrez tout le fer ensanglanté. « Félons païens sont assemblés ici pour leur malheur : « Je vous assure qu'ils seront tous livrés à mort.
Page 452 - ahan, Et très-douloureusement sonne son olifant. De sa bouche jaillit le sang vermeil, De son front la tempe est rompue : Mais de son cor le son alla si loin ! Charles l'entend, qui passe aux défilés ; Naimes l'entend, les Français l'écoutent, Et le roi dit : « C'est le cor de Roland.
Page 448 - Honteuse, honteuse parole, répond Roland. « Maudit soit qui porte un lâche cœur au ventre! « Nous tiendrons pied fortement sur la place : « Pour nous seront les coups, et pour nous la bataille ! » Quand Roland voit qu'il y aura bataille, II se fait plus fier que lion ou léopard. Il interpelle les Français, puis Olivier : >< Ne
Page 456 - Vous ne m'avez pas défié, que je sache. « — Je vous entends, dit Olivier, je vous entends parler; « Mais point ne vous vois: Dieu vous conduise, ami. « Je vous ai frappé : pardonnez-le-moi. « — Je n'ai pas de mal, » répond Roland, « Je vous pardonne ici et devant Dieu.
Page 459 - visage en est décoloré. Sa douleur est si forte qu'il ne peut se soutenir; Bon gré, mal gré, il tombe en pâmoison. Et l'archevêque : « Quel malheur, dit-il, pour un tel baron ! >• L'archevêque, quand il vit Roland se pâmer, En ressentit une telle douleur qu'il n'en eut jamais de