Les épopées françaises: étude sur les origines et l'histoire de la littérature nationale, Volume 3

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Zeller, 1880
 

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Page 128 - Son couraffo iiiTinciblc. tous ses barons, il insulte toute son armée : « Allezvous-en, Bourguignons et Français, Angevins, Flamands et Avalpis, Hennuyers, Poitevins et Mansois, Lorrains, Bretons, Herupois, gens du Berry et de la Champagne, allez-vous-en ; moi, je resterai ici, sous Narbonne. Et quand vous arriverez dans l'Orléanais, en douce France, vers le pays de Laon, si l'on vous demande : Où donc est le roi Charles? vous répondrez, seigneurs Français, vous répondrez, par Dieu, que vous...
Page 385 - Preuoslcau. (l') en Espagne. Chanson de geste inédite renfermée dans un manuscrit de la bibliothèque de Saint-Marc, à Venise. Notice, analyse et extraits ; par Léon Gautier. In-8.
Page 573 - Perdre de son sang et de sa chair. Frappe de ta lance, Olivier, et moi de Durendal, Ma bonne épée que me donna le Roi. Et si je meurs, qui l'aura pourra dire : C'était l'épée d'un brave ! » D'autre part est l'archevêque Turpin; II pique son cheval et monte sur une lande.
Page 500 - Turpin, n'as-tu rien vu dans le fond du torrent ? — J'y vois deux chevaliers : l'un mort, l'autre expirant. Tous deux sont écrasés sous une roche noire ; Le plus fort, dans sa main, élève un Cor d'ivoire, Son âme en s'exhalant nous appela deux fois.
Page 104 - Camarade, Dit Roland, je ne sais, mais je me sens malade. Je ne me soutiens plus, et je voudrais un peu De repos. — Je prétends, avec l'aide de Dieu, Dit le bel Olivier, le sourire à la lèvre, Vous vaincre par l'épée et non point par la fièvre. Dormez sur l'herbe verte ; et, cette nuit, Roland, Je vous éventerai de mon panache blanc. Couchez-vous et dormez. — Vassal, ton âme est neuve.
Page 66 - Dans ta garde dorée il ya bien des reliques : « Une dent de saint Pierre, du sang de saint Basile, » Des cheveux de monseigneur saint Denis, « Du vêtement de la Vierge Marie. » Non, non, ce n'est pas droit que païens te possèdent. « Ta place est seulement entre des mains chrétiennes.
Page 627 - Il s'avance avec son armée vers la Saxe ; mais il est arrêté au passage du Rhin; il n'ya ni pont, ni bateau, ni gué. Il rassemble des matériaux pour un pont, mais le travail va très-lentement : Charles regrette que Roland ne soit pas là; le pont serait vite fait et Vitakind tué.
Page 574 - II est certain que vous aurez bataille ; « Car, sous vos yeux , voici les Sarrasins. « Or donc , battez votre coulpe , et demandez à Dieu merci. « Pour guérir vos âmes, je vais vous absoudre. « Si vous mourez , vous serez tous martyrs : « Dans le grand Paradis vos places sont toutes prêtes.
Page 628 - Puis on s'empare de la ville de Tremoigne, dont les murs tombent comme par miracle ; le roi Vitakind est tué. Beuves sans barbe est chargé de surveiller le pays. » (Karlamagnus-saga, I, 45-47; Gaston Paris, 1.1.) — La cinquième branche du recueil Scandinave est tout entière consacrée à Guitalin (voy. Bibliothèque de l'Ecole des Chartes, t. XXV, p. 18 et suiv.). Ce n'est, d'ailleurs, qu'un développement de ces quelques lignes de la première branche dont nous venons de citer la traduction...
Page 514 - Manuel d'histoire de la littérature française, depuis son origine jusqu'à nos jours, à l'usage des collèges et des établissements d'éducation », de M.

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