Recueil de chants historiques français: série. XVIe siècle

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C. Gosselin, 1842
 

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Fréquemment cités

Page 504 - Charmante Gabrielle, Percé de mille dards, Quand la gloire m'appelle A la suite de Mars, Cruelle départie!
Page 150 - Adieu, plaisant pays de France ! O ma patrie La plus chérie ; Qui a nourri ma jeune enfance ! Adieu, France ! adieu mes beaux jours. La nef qui disjoint nos amours N'a cy de moi que la moitié ; Une part te reste, elle est tienne ; Je la fie à ton amitié, Pour que de l'autre il te souvienne.
Page 3 - Jannequin, devant ce grand François, pour la victoire qu'il avoit eue sur les Suisses, il n'y avoit celuy qui ne regardast si son espée tenoit au fourreau, et qui ne se haussast sur les orteils pour se rendre plus bragard et de la riche taille.
Page 504 - CHARMANTE Gabrielle, Percé de mille dards, Quand la gloire m'appelle Sous les drapeaux de Mars , Cruelle départie , Malheureux jour!
Page 178 - Vois en bière et cercueil ? Qui, en mon doux printemps Et fleur de ma jeunesse, Toutes les peines sens D'une extrême tristesse, Et en rien n'ay plaisir, Qu'en regret et desir?
Page vi - J'appelle ASSONANCE, dit M. Ilaynouard (2), dans l'ancienne poésie françoise, la correspondance imparfaite et approximative du son final du dernier mot du vers avec le même son du vers qui précède ou qui suit , comme on a appelé RIME la correspondance parfaite du son identique final de deux vers formant le distique.
Page 504 - A la suite de Mars, Cruelle départie! Malheureux jour! Que ne suis-je sans vie Ou sans amour ! L'amour, sans nulle peine, M'a, par vos doux reg-ards, Comme un grand capitaine Mis sous ses étendards. Cruelle départie ! Malheureux jour ! Que ne suis-je sans vie Ou sans amour!
Page 152 - Bonnivet. faut, avant mourir avoit en ses mains les hymnes de M. de Ronsard ; et pour son éternelle consolation, se mit à lire tout entièrement l'hymne de la mort, qui est très-bien faict et propre pour ne poinct abhorrer la mort, ne s'aidant autrement d'autre livre spirituel, ny de ministre ny de confesseur.
Page 181 - L'on void, sous blanc atour, En grand deuil et tristesse, Se pourmener mainct tour De beauté la déesse, -. ;• : ; , Tenant le trait en main De son fils inhumain ; Et Amour, sans fronteau, Voletter autour d'elle, Desguisant son bandeau En un funcbre voile, Où sont ces mots escrits : MOURIR ou ESTRE PRIS.
Page 254 - ... Vous, malheureux ennemys, Qui avez mis Sans raison au poing les armes Contre votre prince et roy, Par esmoy, Jetez de vos yeulx larmes.

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